2001, Les 210 victimes du rapport du Colonel Claude Mercier
Le discours du Premier Ministre Lionel Jospin du 26 avril permet de lancer des recherches sur les déportés pour motifs d'homosexualité à partir de la France. Les recherches sont faites par la Fondation pour la Mémoire de la Déportation. Elles aboutissent rapidement puisque le 15 novembre 2001, un rapport du colonel Claude Mercier (ancien Secrétaire Général de la FMD) évoquant une liste de 210 victimes de déportation est rendu au Ministre du Secrétariat d'Etat aux Anciens Combattants.
Lire le rapport.
2007, Liste révisée à 63 noms par Mickaël Bertrand
Les premiers travaux ayant été fort rapides, la Fondation pour la Mémoire de la Déportation continue les recherches historiques avec son groupe de chercheurs basé au Mémorial de Caen. Le 27 octobre 2007, à l'IUT de Dijon, une journée d'étude "La déportation pour motif d'homosexualité en France" est organisée par Mickaël Bertrand, alors étudiant en Master d'histoire contemporaine et travaillant pour la FMD.
Les nouvelles conclusions sont rendues publiques rendues évoquent le sort de 63 victimes dont la déportation pour motif d'homosexualité (depuis la France) est désormais prouvée grâce à des éléments probants (identité des personnes ; date et lieu d'arrestation ; motif de condamnation et date du jugement ; date de remise aux forces allemandes).
Lire le communiqué de presse: 07 novembre 2007 - De nouvelles recherches sur les archives confirment la déportation pour motif d'homosexualité depuis la France pendant la 2nde Guerre Mondiale
Les Actes du colloque ont été imprimés en 2011 et sont disponibles à la vente.
2010, Déportés pour motifs d'homosexualité au camp de concentration de Natzweiler-Struthof (Alsace)
Le 25 septembre 2010, à l'occasion de l'aposition d'une plaque au camp de concentration de Natzweiler-Struthof, il est révélé par la Fondation pour la Mémoire de la Déportation que 215 personnes ont été dans le camps au motif du paragraphe 175, dont 14 français.
Le discours du Premier Ministre Lionel Jospin du 26 avril permet de lancer des recherches sur les déportés pour motifs d'homosexualité à partir de la France. Les recherches sont faites par la Fondation pour la Mémoire de la Déportation. Elles aboutissent rapidement puisque le 15 novembre 2001, un rapport du colonel Claude Mercier (ancien Secrétaire Général de la FMD) évoquant une liste de 210 victimes de déportation est rendu au Ministre du Secrétariat d'Etat aux Anciens Combattants.
Lire le rapport.
2007, Liste révisée à 63 noms par Mickaël Bertrand
Les premiers travaux ayant été fort rapides, la Fondation pour la Mémoire de la Déportation continue les recherches historiques avec son groupe de chercheurs basé au Mémorial de Caen. Le 27 octobre 2007, à l'IUT de Dijon, une journée d'étude "La déportation pour motif d'homosexualité en France" est organisée par Mickaël Bertrand, alors étudiant en Master d'histoire contemporaine et travaillant pour la FMD.
Les nouvelles conclusions sont rendues publiques rendues évoquent le sort de 63 victimes dont la déportation pour motif d'homosexualité (depuis la France) est désormais prouvée grâce à des éléments probants (identité des personnes ; date et lieu d'arrestation ; motif de condamnation et date du jugement ; date de remise aux forces allemandes).
Lire le communiqué de presse: 07 novembre 2007 - De nouvelles recherches sur les archives confirment la déportation pour motif d'homosexualité depuis la France pendant la 2nde Guerre Mondiale
Les Actes du colloque ont été imprimés en 2011 et sont disponibles à la vente.
2010, Déportés pour motifs d'homosexualité au camp de concentration de Natzweiler-Struthof (Alsace)
Le 25 septembre 2010, à l'occasion de l'aposition d'une plaque au camp de concentration de Natzweiler-Struthof, il est révélé par la Fondation pour la Mémoire de la Déportation que 215 personnes ont été dans le camps au motif du paragraphe 175, dont 14 français.